ASSEMBLEE GENERALE DE L’ATAP 2022

Chers Membres de l’ATAP, le bureau a le plaisir de vous informer de la tenue de notre assemblée générale annuelle sur le Samedi 1er Octobre 2022 à l’Auditorium de la paroisse St Athanasius de Philadelphie à l’adresse Suivante :

2050 E. Walnut Lane,

Philadelphia, PA 19138  

Trouver ICI le programme détaillé de l’AG.

Pour toute question relative à l’AG, veuillez contacter le bureau exécutif aux:

Cel: (215)798-0118, Secretariat Général

       (917) 420-1451, Trésorerie Générale

Premier match officiel de la saison de Kanleto

L’équipe de kanleto a disputé son Premier match officiel à domicile ce Dimanche 10 juillet 2022 à 10h :00 ET contre leurs homologues de l’Haïti. Nos frères ce sont imposés par un score de 2-1 .

 

Les deux équipes se sont neutralisés à la première mi-temps par un score vierge.

Les haïtiens, à l’entame de la seconde période ce sont montrés dangereux a mainte reprise et ont fini par ouvrir le score après 10 minutes de la deuxième partie. Suite à cet encaissement, nos Jeunes talentueux ne se sont pas laisser faire, c’est ainsi qu’à la 60’ minute, l’ailier droit de kanleto,  Shaam, par un coup franc bien négocié a égalisé. Cette égalisation a permis à kanleto de gagner confiance et à la 65’ minute, sous la pression de l’équipe de Kanleto, les Haïtiens ont concédé un penalty  qui sera transformé par Louis, notre attaquant de pointe.

Après de multiple tentative d’égalisation, Nos défenseurs se sont montrés plus farouches en maintenant le score à 2 -1.

Félicitations à nos vaillants joueurs.

En observant différents groupes sociaux, un fait va vous troubler

De Assou Lissavi KAKPO (Mouvement Fédéral Africain)

Les Chinois évoluent toujours en groupe très fermé. Et si vous voyez un africain parmi eux, c’est forcément celui qui occupe le plus bas niveau du groupe : chauffeur, agent de sécurité, agent d’entretien. Les Chinois mangent toujours dans des restaurants chinois. Quand ils doivent s’approvisionner, ils privilégient des boutiques chinoises. Quand ils veulent importer des produits en Afrique, ils ne le prennent d’ailleurs que de la Chine.

Les Libanais restent cloisonnés entre eux. Ils mangent libanais, achètent libanais, envoient leurs enfants dans des écoles libanaises. Les Africains sortent-ils avec les jeunes filles libanaises?… Mais une africaine sera fière de pavaner avec un libanais. Quand les deux partent ensuite au Liban, vous entendez que la jeune africaine est maltraitée, introduite dans des réseaux de prostitution ou même tuée à la grande indifférence des élites et ONG africaines.

Les indo-pakistanais, comme les chinois et libanais, restent entre eux. Ils ne mangent pas africains, ne portent pas des vêtement africains. Et comble de paradoxe, ils importent en Afrique des tissus africains. Mais eux-mêmes ne les portent jamais. Et dans les grands marchés d’Afrique, ils détiennent, avec les libanais, des pans entiers des économies des États.

Quand survient un litige entre un Libanais et un Africain, c’est le Libanais qui nargue l’Africain. Il nargue le nègre… chez lui!

Ces trois groupes sont au sommet de la distribution des produits importés en Afrique. Ils sont grossistes ou semi-grossistes.

Et les nègres que nous sommes, restons de simples détaillants, sur notre propre sol. Des africains peuvent-ils avoir autant de pouvoir dans ces pays? Je m’interroge.

Les européens constituent quant à eux, un groupe à part. Celui des très supérieurs. Vous ne les verrez jamais détenir une boutique dans un marché africain. C’est trop bas pour eux. Cela va ternir leur peau. Eux, ils viennent sous la dénomination de “coopérants”. Avec un BAC+2, ils viennent donner des leçons aux grands diplômés africains, sur des sujets… bien mieux maîtrisés par l’Africain.

Ni l’Européen, ni le Chinois, ni le Libanais, ni l’Indo-pakistanais n’ouvriront jamais d’eux-mêmes, les portes d’un restaurant ” Spécialités Africaines”.

Chers Africains, lorsque nous achetons chez un Libanais, un Chinois, un Indo-pakistanais, plutôt qu’un Africain, nous enrichissons un étranger qui, un jour, sortira son argent de façon frauduleuse, sans jamais payer une seule taxe. Il ne construira jamais rien de durable dans nos États avant de repartir chez lui. Il n’y a aucun lien.

Par contre, l’Africain lui, est lié, à un niveau donné, à votre famille, proche ou lointaine. Lorsque nous achetons chez un Africain, nous aidons quelque part un membre de notre famille.

A l’heure où j’écris ces lignes, le seul pouvoir dont je dispose est de nous sensibiliser sur le fait que nous fragilisons nos économies par de petits gestes anodins. Et que c’est par des petits gestes anodins que nous pouvons redresser la barre.

Demain, peut-être, si nous sommes appelés à légiférer, c’est avec plaisir et fierté que nous remplacerons un à un ces étrangers qui détiennent nos économies par des Africains. Mais pour le moment, nous faisons notre petite part en vous postant ce message. A vous de faire la vôtre.

Juste un petit geste utile: comme les autres peuples le font, donnons notre argent à des Africains.

Le concept Ubuntu « Je suis parce que tu es », plus que jamais du jour pour les peuples africains

De Sourou Pagbaya

« Cogito ergo sum » – « Je pense donc je suis ». Beaucoup d’entre nous sommes peut-être familiers à cette fameuse proposition philosophique de René Descartes dans son opuscule le discours de la méthode publié le 8 Juin 1837. Par cette formulation, Descartes marqua ainsi la naissance de la philosophie moderne occidentale. Je dirais même qu’il a ainsi établi avec lucidité et clarté le thème fondamental de la pensée occidentale qui est basée sur l’individualisme avant tout. Cette attitude, couplée à l’innovation et à l’adoption des idées et des technologies venues des différents coins du monde ont permis à l’Europe de conquérir et dominer le monde y compris l’Afrique pendant plusieurs siècles.

Je pense toutefois que la race humaine aujourd’hui est à la croisée des chemins. Au vue des évènements mondiaux récents, est-il temps de revoir le concept de Descartes par rapport au concept Ubuntu, une vision authentiquement africaine qui encourage la collaboration et la vie en communauté ?

« Ubuntu » en langue Nguni Bantu veut dire « humanité ». Ce terme Sud-Africain est apparu vers le milieu du 19eme siècle et s’est populariser au début des années 1950 à travers des écrits de notable écrivains comme John Kush Ngubane qui a fait une dissertation à ce sujet dans son livre « African Drum ». En terme philosophique, le concept Ubuntu tacle la pensée de Descartes et propose une nouvelle définition de l’essence de l’homme et de l’humanité. Selon le concept Ubuntu, l’essence d’une personne se retrouve à travers une autre personne. « Je suis parce que tu es ». Je suis humain car tu me vois comme un humain. Si je détruis ton humanité pour satisfaire mon désir personnel ou autres objectifs égoïstes, je suis en fait entrain détruire ma propre humanité. Donc, à Descartes qui ne découvre son essence d’humain que par sa propre capacité de penser, Ubuntu répond que Descartes n’a que partiellement raison. Il faut aller plus loin et reconnaitre l’importance de ton prochain dans ta propre existence.

Mais pourquoi tout ceci est important ? Quand nous regardons aujourd’hui autour de nous, que ce soit les catastrophe naturelles ou humaines, nous devons reconnaitre que le monde est en train de changer et pas nécessairement dans le bon sens. Les guerres successives dans le moyen orient, au Maghreb et en Afrique Australe, doublé des changements climatiques planétaire causent des vagues d’immigrés à travers notre globe. Aucune semaine ne passe sans que la presse internationale ne nous informe d’un naufrage aux bords des côtes de la Méditerranée causant la mort de milliers de personnes venant d’Afrique ou du moyen orient a la recherche d’une vie meilleure en Occident. De l’autre côte de l’Atlantique, l’Amérique du Nord continue de voire un flux constant d’immigrés qui fuient la pauvreté et l’instabilité pour une promesse de conditions beaucoup plus acceptables.

Face à tous ces mouvements migratoires, on aurait pensé que le monde entier se tendra la main pour aider ceux d’entre nous qui sont dans ces conditions précaires. Mais, on note plutôt l’émergence du nationalisme et du protectionnisme dans les pays occidentaux. Pour évidence, on peut prendre l’exemple du Brexit (retrait du Royaume Uni de l’Union Européenne), l’avancée des partis anti-immigration en Autriche, aux Pays-Bas, en Allemagne, en France et plus récemment la victoire du candidat républicain Donald Trump aux présidentielles américaines. Ce dernier a clairement indique pendant la campagne et durant les premières semaines de son administration sa détermination à éliminer ou réduire au maximum l’immigration en Amérique.

Comment sommes-nous arrives à ce point où nous sommes devenus indiffèrent face aux conditions d’autres humains comme nous ? Comment pouvons-nous continuer à accepter sans honte ou peine que des bébés de quelques mois meurent naufragés dans les eaux de la Méditerranée ? Comment comprendre que des milliers d’africains périssent chaque année dans des guerres fratricides ou à cause de la famine sans que cela n’offense quiconque. Comment expliquer que plus de 200,000 syriens sont mort dans la guerre civile depuis 4 ans et que jusqu’alors l’ONU n’a toujours pas pu trouver une solution à ce conflit. On dirait que tout un chacun n’est intéressé qu’a ce qui le concerne individuellement et rien d’autre.

Face à ces questions d’ordre humain auxquelles l’Occident n’arrive toujours pas à proposer des solutions adéquates, je pense qu’il est peut-être temps d’offrir des solutions africaines. Je propose donc le concept Ubuntu : je suis parce que tu es. Nos sociétés et civilisations africaines étaient bâties sur la famille et la communauté. Chacun prend soin de l’autre. Si un est malade, tout le monde se sent malade. S’il y a des funérailles dans le village, tout le monde y participe et pleure avec la famille. Dans mon village, quand tu tues un mouton pour célébrer un évènement, tu as intérêt à offrir un morceau a toutes les concessions même ceux qui n’étaient pas présents à l’occasion. Tout cela parce qu’on reconnaissait que nous sommes tous dans le même bateau. On monte ensemble ou on sombre ensemble.

Mais l’individualisme occidentale est maintenant de plus en plus accepté comme la norme. On pense que c’est ok de s’enrichir massivement et vivre dans l’opulence même si ton voisin peut à peine s’offrir un repas par jour. On ne se gêne pas de rouler dans sa voiture de luxe et éclabousser le mendiant de l’eau de rue sans remords. Le sort des autres nous importe peu jusqu’à ce qu’on se retrouve dans un pareil cas. En ce moment on se demande pourquoi les autres ne viennent pas nous assister. On s’étonne de la méchanceté de son frère envers soit oubliant que pas plus qu’hier on a ignoré ses pleurs et supplications.

L’heure a peut-être sonné pour que nous africains retournons a ces valeurs qui faisaient de nous des peuples moins équipés, mais plus heureux. Le temps est venu ou l’élévation du statut social d’un individu devrait être juge par manière avec laquelle il traite les autres. La richesse ou l’éducation ne doivent plus être les seules mesures du respect qu’on donne a un individu dans la société. Plutôt, cela doit se baser plus sur le respect et la valeur qu’il accorde aux autres sans qu’il ne cherche à savoir s’ils sont de sa classe ou pas. Parce qu’en fait, la classe sociale ne veut rien dire. Ce n’est qu’une invention que l’homme à créer par vanité. Si nous croyons que nous sommes tous les enfants d’un même créateur, comment pouvons-nous alors penser que ce même créateur nous préfère aux autres.

Nous sommes tous humains, et notre humanité ne peut être définie qu’à travers nos autres frères humains. En tant qu’africain, vivant en Occident, je pense que c’est de notre devoir de démontrer ces valeurs africaines d’unité, de solidarité et de soutien mutuel. Je ne défends pas le communisme ; loin de là. Je propose plutôt l’Africanisme, la philosophie Ubuntu : je suis parce que tu es…

Une Histoire D’Amour.

De Laurent Akpali.

Un homme épouse une belle fille. Il l ‘aimait beaucoup. Un jour, elle développa une maladie de peau. Lentement elle commença à perdre sa beauté. Un jour son mari part pour une tournée. En revenant il y eu un accident et perdu la vue. Cependant leur vie conjugale continua comme avant. Mais au fil des elle perdit peu à peu sa beauté. Le mari aveugle ne saurait pas cela et il n’y avait aucune différence dans la vie conjugale, il continua à l’aimer et elle l’a aussi beaucoup l’aimé. Un jour elle mourut. Sa mort lui causa beaucoup de chagrin. Après avoir finit tous ses derniers, il voulut quitter cette ville. Un homme derrière lui l’appela et lui dit: maintenant comment allez-vous être capable de marcher tout seul? Tous ses jours votre femme vous aidait. Il répondit: je ne suis pas aveugle. J’agissait ainsi, parce que si elle savait que je pouvais voir sa laideur, ça lui aurait fait plus que sa maladie. J’ai donc semblant d’être aveugle. C’etait une très bonne épouse. Je voudrais seulement la garder heureuse.

MORALITÉ: Quelquefois, il est bon pour nous de faire semblant d’être aveugle et d’ignorer les défauts des autres bref, afin d’être heureux.
PARDON: Peu importe combien de fois les dents mordent la langue, elles restent toujours ensemble.
UNITÉ: Même si les yeux ne se voient pas, ils voient les choses ensemble, clignent simultanément et pleurent ensemble.
QUE DIEU NOUS ACCORDE L’ESPRIT DE PARDON ET DE L’UNITÉ.
LA BEAUTÉ DES RELATIONS HUMAINES: NOUS NE SOMMES RIEN SANS LES AUTRES.

LOLO.

From the Prom to the Presidency.

By Shakyra Kokobissi.

It was April 12th at Laketon High School. A month from now was the school’s prom. There were two boys that wanted to take the same girl. Her name was McKenna. The two boys are named Jackson and Henry. They are best friends. They never told each other who they were going to ask. But they told each other that they were going to ask them later.

It is one week until Prom. Jackson asked McKenna if she can go to the Prom, she said yes. One hour later, Henry asked McKenna. She said sorry I’m going with someone else. Henry asked: who are you going with? McKenna responded: I am going with Jackson. It was the end of the school day. Henry was thinking of a way to get revenge on Jackson.

It was Prom day. Jackson picked up McKenna and Henry thought of a way to get revenge. Henry said to himself “ok let’s go over the plan, when they do the slow dance, I will talk to Jackson, and then start a fight.” Everyone was at the Prom; they had delicious food, and great music. They took pictures it was so much fun!

The DJ said “In five minutes we will do the slow dance.” Henry got ready for the plan. The slow dance started and Henry walked up to Jackson and asked “can I talk to you? “ Jackson said “sure, wait right here, McKenna.” Henry pushed Jackson. Jackson said “dude” what’s your problem? “You took the girl I wanted to take.” Jackson said “sorry I didn’t know”. Henry mimicked “sorry I didn’t know, eh”. Stop it right now! McKenna said. I will pick who I want.

The next two weeks Henry tried to impress McKenna. Jackson thought he didn’t need to impress her.

Couple months later, McKenna called Jackson and Henry to go to Sellers Park.

Hey Guys, I picked ……………………………………………..Jackson!!!!!!

16 years later Jackson and Henry both decided to run in the president election. This time they did tell each other they were going to run. McKenna helped Jackson make buttons and signs VOTE FOR JACKSON.

Henry got married to a woman named Gloria. Gloria helped Henry make shirts, buttons, and flags. Their first debate started Henry fought but Jackson won.

Two months from now, everyone would vote for president. Jackson make a song, and Henry made motto.Henry started his first campaign. It was in Atlanta Georgia.

Jackson stared his first campaign in Detroit Michigan. It was fantastic. The crowd cheered him on.

They did the second debate in Baltimore, Maryland. Jackson fought hard but Henry won.

Jackson did another campaign, in Dallas, Texas. He thought another campaign would help him. Jackson talked about helping communities making cleaning groups and bringing more jobs. It was the day, the day to vote. Jackson and Henry wished each other good luck. In the afternoon we found out the results. Jackson had 43,758 votes but Henry 47,298 votes. Henry won. Gloria said “I’m going to be the first lady.” McKenna said “it’s Okay”.

It is May 15th, the first day of the new president, Henry Boldman.

One week later, the FBI found out that Henry campaign cheated 5,897 votes.

The next day, Jackson and Henry both found out that their wife had a baby. Both of the babies were a girl. Gloria named her Angela, and McKenna named her Rachel.

Henry has to go to court for three days. Rachel and Angela had a play date. They became best friends. Gloria and McKenna both decided they could live together.

The next day of court, Henry got mad and yelled. The judge sends him away. Jackson, McKenna, Henry, Gloria, Rachel and Angela enjoyed moving in. They decided Henry, Gloria and Angela would move in.

It was the first day of pre-school. Rachel and Angela were terrified to go to pre-school. It was the end of school day they thought their teacher was nice. Angela and Rachel are in the same class.

The last day of court the judge decided that Jackson would be the President instead. Jackson said “I don’t want to be president let Henry be President. They had a celebration. It was so much fun!!!!

About the Author

SHAKYRA KOKOBISSI

 

  • Loves Pink
  • Likes drawing
  • Enjoyed writing
  • Very interested in cooking.

Can the ‘City of Brotherly Love’ Continue to Show Love? How Trump’s Executive Order on Immigration Impacts Philadelphia?

By Rachelle Martinez.

Long before Trump officially took office, people the world over have spoken out and protested against the policies he proposed should he be elected as President of the United States.  Tightening existing immigration policies remain paramount amongst the changes he proposed taking in his first 100 days, as evidenced by the recent executive order he signed less than six days after swearing-in as our nation’s 45th president.  On January 27th, President Trump signed the Executive Order entitled, “Protecting The Nation From Foreign Terrorist Entry Into The United States”. This order is by definition intended to serve as a “policy of the United States to protect its citizens from foreign nationals who intend to commit terrorist attacks in the United States; and to prevent the admission of foreign nationals who intend to exploit United States immigration laws for malevolent purposes.” In principle, Americans would support such a measure; however, its lack of clarity, abruptness of existing measures undertaken by the U.S. Department of Homeland Security (DHS), and unspoken prejudiced towards certain groups of individuals have done nothing less than spark outrage, heighten concern, and mobilize the masses to protest in response.  In a recent assessment of Trump’s travel ban and its global reverberations, Debra Amos, NPR reporter, indicates that “as the order took effect, travelers who had previously been issued valid visas were detained at airports around the country, prompting protests and calls for their release. Judge Ann Donnelly in Brooklyn, N.Y., issued a temporary restraining order barring the deportation of as many as 200 people, citing the ‘irreparable harm’ they would face. The mixed signals continue, however, as refugee advocates and resettlement groups say they lack guidance for helping refugees already in the pipeline.”  Undoubtedly, we witnessed the balancing act of our government at play, as individual states and U.S. Circuit Courts have challenged and repealed Trump’s order. In Philadelphia, Mayor Kenney has made it clear that Philadelphia REMAINS committed to protecting all of its residents, regardless of what Trump’s Administration dictates; further, Philadelphia is NOT in the business of breaking families apart.  Recently, the head of the U.S. Department of Homeland Security, Jeh Johnson, declared a new paradigm shift from supporting “Sanctuary Cities” to taking on a more punitive, “Priority Enforcement” stance.  In defiant response, Mayor Kenney announced in early January that it would remain a Sanctuary City. Why is this important?  Before presenting here the implications of Mayor Kenney’s stance, allow me to define what a “sanctuary city” is.  A Sanctuary City, by definition, is a municipality that has adopted a policy of protecting unauthorized immigrants by not prosecuting them for violating federal immigration laws and by ensuring that all residents have access to city services, regardless of immigration status.  In the context of Trump’s clamp down policies, defying Trump’s authority has serious consequences for cities like Philadelphia.  Specifically, Philadelphia faces losing up to $638 million in State and Federal funding to support City Operations–a significant pool of funds that this city relies on.  The money paid for HIV counseling and testing, after-school snacks, analysis of narcotics evidence, services for neglected or abused youth, and the testing of DNA samples backlogged in the criminal justice system (Source: PhillyNews.com, 1/25/17, “Kenney Says Philly will Remain A Sanctuary City Despite Trump’s Order to Pull Funds”).

Certainly, the threat of losing this looms very close, since PA legislators are at this moment considering crafting PA legislation that would eliminate funding to support cities who defy federal policies. Based on the actions of leaders like Mayor Kenney and other notable mayors in large municipalities across our nation, the likelihood of lawmakers removing this vital funding will pale in comparison to the growing protests supporting immigrants, refugees, and other migrants here in the United States.

The question remains, however, will Philadelphia remain steadfast in its commitment to being an inclusive “City of Brotherly Love”? Undoubtedly, Philadelphia government has made significant strides in showing this steadfast commitment, and based on my observations from local efforts, she will continue to keep this stance for as long as possible. As recent as late January 2017, Mayor Kenney through his Office of Immigrant Affairs (MOIMA) held a special Round-Table to serve as a launching in a series as a way to connect the Mayor directly with the ethnic communities’ journalists here in Philadelphia and keep them apprised of important information that they, in turn, can deliver to their respective communities in a timely and accurate manner.   In addition, Mayor Kenney has continued to uphold and make considerable use of the Mayor’s Office of Immigrant Affairs (MOIMA) as the premier conduit to engaging with various ethnic groups throughout the City.  One of their flagship activities is the Mayor’s “Cup of the Nations”, which is an annual soccer tournament designed to increase varying ethnic communities’ visibility here in Philadelphia and celebrate each group’s uniqueness in our pluralistic community.  “Philadelphia Immigration Hub” is another testament to Philadelphia’s commitment to integrating immigrants, particularly into the business community here in Philadelphia.  The Philadelphia Immigrant Innovation Hub provides aspiring entrepreneurs and established small business owners with the tools and expertise they need to develop their businesses and is located in Northwest Philadelphia.  It is a joint project of Mt. Airy, USA and The Welcoming Center for New Pennsylvanians.  Further, the School District of Philadelphia has also played a proactive role in supporting immigrants and undocumented individuals.  On Tuesday, January 24th, in response to the quelling fear and uncertainty of many immigrant groups, the School District hosted a town hall meeting that was led by Superintendent Hite to address students’ and parents’ concerns with regards to pending changes in immigration policy.  Many parents expressed their concern over being separated from their children because they do not have legal status at present.  And just like many others, the School District awaits the outcome of such policy changes, but in the meantime, they affirmed their role as advocate in support of keeping families together.